CENTRE CULTUREL
ESPACE BADIBANG’ART
« l’EDUCATION ARTISTIQUE POUR TOUS »
CENTRE CULTUREL
ESPACE BADIBANG’ART
« l’EDUCATION ARTISTIQUE POUR TOUS »
Il fera exactement 10 ans, ce 13 juin 2023, que le Critique d’art et Inconditionnel de la Culture, Célestin BADIBANGA-ne-MWINE tirait sa révérence. Pour honorer sa mémoire, sa famille biologique et le centre culturel Espace Akhenaton organisent des journées culturelles commémoratives en son honneur le Mardi 13 juin 2023 à la place des artistes, au rond-point victoire de 13 heures 30 à 15 heures, et le Mercredi 14 juin 2023 au Musée National de la République Démocratique du Congo au 4422 boulevard triomphal, de 10 heures à 13 heures.
Célestin BADIBANGA est un pionnier de la Culture et Arts en République Démocratique du Congo. Professeur, Chercheur, Muséologue, Ecrivain, Poète, Critique d’art, Conférencier, Organisateur des grands festivals culturels nationaux et Internationaux, Premier Présentateur, Producteur et Réalisateur d’une émission à caractère culturel et artistique en RDC, Créateur de la section d’Art Moderne à l’Institut des Musées Nationaux du Congo, premier Président de l’Association Internationale des Critiques d’Art/section RDC, Initiateur du cours d’initiation à la critique d’art, Formateur des professeurs du cours d’Esthétique dispensé en cinquième secondaire en RDC, Promoteur du centre culturel Espace Akhenaton… Un parcours hors pair !
Célestin BADIBANGA a reçu deux distinctions honorifiques :
Diplôme d’honneur du jubilé d’or de l’Académie des Beaux -Arts de Kinshasa, 2000
Médaille d’or du mérite des Arts, des Sciences et Lettres de la République Démocratique du Congo, Octobre2004.
Le monde de la Culture et Arts est donc convié aux cérémonies d’hommages organisées pour ce grand homme.
Cordiale bienvenue à tous !
Famille BADIBANGA
.
Célestin BADIBANGA ne MWINE, l’homme de la Culture et Arts Congolais a vécu de l’an 1944 à l’an 2013 en République Démocratique du Congo. Il était marié à Justine KAPINGA avec qui ils ont eu 6 enfants.
Célestin BADIBANGA a fait des Humanités Modernes (Math-Physique) au Collège Albert 1erà Kinshasa en 1964; Il a passé 2 ans en sciences Politiques, Sociales et Economiques à l’Université de Lovanium de Kinshasa, avant sa fermeture par le président MOBUTU SESE SEKO en 1967 ; Et c’est de là que son aventure culturelle débuta. Il s’éprit alors d’une passion pour tout ce qui concerne la culture et les arts.
Il fut donc un autodidacte dans ce domaine qu’il finit par force d’abnégation à maitriser les contours, comme quelqu’un qui est né avec l’art dans ses gènes ! Il se spécialisera sur terrain dans l’approche des arts plastiques modernes, notamment, ceux du négro-africain, en histoire de l’Art Moderne Congolais depuis 1965. Puis il entreprit plusieurs voyages d’études dans le domaine des Musées d’Arts Modernes en Europe de 1973 à 1985 (Yougoslavie, Belgique, Pologne, Allemagne, France, Suède, Hollande).
Pour ce qui est de son parcours professionnel, il fut :
- Enseignant à l’Institut Notre Dame du Congo, Kinshasa, 1967-1970 ;
- Producteur, Réalisateur et Présentateur de l’Emission TV « Coin des Artistes » qu’il rebaptise « Culture et Art » à la TELESTAR /RENAPEC, Kinshasa, 1970-1975, émission qui continue jusqu’à aujourd’hui, sur les antennes de la radio-télévision nationale congolaise;
- Coopté par l’Institut des Musées Nationaux du Congo (IMNC) comme: – chercheur, 1975- chargé de l’organisation puis chef de la section d’Art Moderne (1976-2003), section qu’il a monté en 1975 – Depuis 1983, gradé scientifique de Professeur à L’IMNC et enfin Directeur d’Art Contemporain 2003-2013;
- Créateur du cours d’initiation à la critique d’Art en 1978, puis professeur de ce cours à l’Institut National des Arts Section Animation Culturelle (INA/AC), Kinshasa, 1978-1998 ;
- Professeur à temps partiel des cours d’esthétique et d’histoire de l’art à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa 1989 ;
- Coopté critique d’art membre sociétaire de l’Association Internationale des Critiques d’Art (AICA), organe consultant de l’UNESCO, 1972-2013. Membre de droit du conseil d’administration de cette association, 1972-1994, en qualité de Président d’une Section Nationale de l’AICA (AICA/Zaïre-RDC). Première section Africaine de l’AICA. Conseiller perpétuel de cette association.
- Membre du comité préparatoire de la CNS 1991 et conférencier en 1992;
- Conseiller aux Arts Plastiques & Patrimoines culturels au cabinet du Ministre de la culture et des Arts, Gouvernement élu à la conférence National Souveraine (CNS), Kinshasa 1992 ;
- Consultant et Président de l’Espace Akhenaton depuis 1988-2013;
- Membre de la commission Philatélique Nationale depuis 1984-2013
* Cérémonies d’hommages au feu
Célestin BADIBANGA ne MWINE
Il fera exactement 10 ans, ce 13 juin 2023, que le Critique d’art et Inconditionnel de la Culture, Célestin BADIBANGA-ne-MWINE tirait sa révérence. Pour honorer sa mémoire, sa famille biologique et le centre culturel Espace Akhenaton organisent des journées culturelles commémoratives en son honneur le Mardi 13 juin 2023 à la place des artistes, au rond-point victoire de 13 heures 30 à 15 heures, et le Mercredi 14 juin 2023 au Musée National de la République Démocratique du Congo au 4422 boulevard triomphal, de 10 heures à 13 heures.
Célestin BADIBANGA est un pionnier de la Culture et Arts en République Démocratique du Congo. Professeur, Chercheur, Muséologue, Ecrivain, Poète, Critique d’art, Conférencier, Organisateur des grands festivals culturels nationaux et Internationaux, Premier Présentateur, Producteur et Réalisateur d’une émission à caractère culturel et artistique en RDC, Créateur de la section d’Art Moderne à l’Institut des Musées Nationaux du Congo, premier Président de l’Association Internationale des Critiques d’Art/section RDC, Initiateur du cours d’initiation à la critique d’art, Formateur des professeurs du cours d’Esthétique dispensé en cinquième secondaire en RDC, Promoteur du centre culturel Espace Akhenaton… Un parcours hors pair !
Célestin BADIBANGA a reçu deux distinctions honorifiques :
Diplôme d’honneur du jubilé d’or de l’Académie des Beaux -Arts de Kinshasa, 2000
Médaille d’or du mérite des Arts, des Sciences et Lettres de la République Démocratique du Congo, Octobre2004.
Le monde de la Culture et Arts est donc convié aux cérémonies d’hommages organisées pour ce grand homme.
Cordiale bienvenue à tous !
Famille BADIBANGA
*Biographie
Célestin BADIBANGA ne MWINE
.
Célestin BADIBANGA ne MWINE, l’homme de la Culture et Arts Congolais a vécu de l’an 1944 à l’an 2013 en République Démocratique du Congo. Il était marié à Justine KAPINGA avec qui ils ont eu 6 enfants.
Célestin BADIBANGA a fait des Humanités Modernes (Math-Physique) au Collège Albert 1erà Kinshasa en 1964; Il a passé 2 ans en sciences Politiques, Sociales et Economiques à l’Université de Lovanium de Kinshasa, avant sa fermeture par le président MOBUTU SESE SEKO en 1967 ; Et c’est de là que son aventure culturelle débuta. Il s’éprit alors d’une passion pour tout ce qui concerne la culture et les arts.
Il fut donc un autodidacte dans ce domaine qu’il finit par force d’abnégation à maitriser les contours, comme quelqu’un qui est né avec l’art dans ses gènes ! Il se spécialisera sur terrain dans l’approche des arts plastiques modernes, notamment, ceux du négro-africain, en histoire de l’Art Moderne Congolais depuis 1965. Puis il entreprit plusieurs voyages d’études dans le domaine des Musées d’Arts Modernes en Europe de 1973 à 1985 (Yougoslavie, Belgique, Pologne, Allemagne, France, Suède, Hollande).
Pour ce qui est de son parcours professionnel, il fut :
- Enseignant à l’Institut Notre Dame du Congo, Kinshasa, 1967-1970 ;
- Producteur, Réalisateur et Présentateur de l’Emission TV « Coin des Artistes » qu’il rebaptise « Culture et Art » à la TELESTAR /RENAPEC, Kinshasa, 1970-1975, émission qui continue jusqu’à aujourd’hui, sur les antennes de la radio-télévision nationale congolaise;
- Coopté par l’Institut des Musées Nationaux du Congo (IMNC) comme: – chercheur, 1975- chargé de l’organisation puis chef de la section d’Art Moderne (1976-2003), section qu’il a monté en 1975 – Depuis 1983, gradé scientifique de Professeur à L’IMNC et enfin Directeur d’Art Contemporain 2003-2013;
- Créateur du cours d’initiation à la critique d’Art en 1978, puis professeur de ce cours à l’Institut National des Arts Section Animation Culturelle (INA/AC), Kinshasa, 1978-1998 ;
- Professeur à temps partiel des cours d’esthétique et d’histoire de l’art à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa 1989 ;
- Coopté critique d’art membre sociétaire de l’Association Internationale des Critiques d’Art (AICA), organe consultant de l’UNESCO, 1972-2013. Membre de droit du conseil d’administration de cette association, 1972-1994, en qualité de Président d’une Section Nationale de l’AICA (AICA/Zaïre-RDC). Première section Africaine de l’AICA. Conseiller perpétuel de cette association.
- Membre du comité préparatoire de la CNS 1991 et conférencier en 1992;
- Conseiller aux Arts Plastiques & Patrimoines culturels au cabinet du Ministre de la culture et des Arts, Gouvernement élu à la conférence National Souveraine (CNS), Kinshasa 1992 ;
- Consultant et Président de l’Espace Akhenaton depuis 1988-2013;
- Membre de la commission Philatélique Nationale depuis 1984-2013
Doué d’un sens d’observation profonde, d’une patience éloquente et d’un esprit perspicace, Mr BADI, comme ses proches l’appelait, avait toujours une longueur d’avance. Il savait ressortir le meilleur caché dans l’artiste, le forger et le présenter au monde comme une merveille artistique.
Les artistes incompris trouvaient en lui un réconfort, un coach, un guide. Il a milité pour l’éclosion de la peinture populaire en RDC, et plutard, pour l’émergence d’un nouvel art plastique Congolais .
Célestin BADIBANGA ne MWINE a laissé des emprunts incontestables et indélébiles dans la sphère culturelle Internationale en général, et en République Démocratique du Congo en particulier.
Un pionnier de taille dans le développement du secteur de la culture, arts et patrimoines en RDC, son parcours hors pair en témoigne ci-bien.
Ses efforts ont été reconnus par l’octroie de 2 distinctions honorifiques :
* Diplôme d’honneur du jubilé d’or de l’Académie des Beaux -Arts de Kinshasa, 2000
* Médaille d’or du mérite des Arts, des Sciences et Lettres de la République Démocratique du Congo, Octobre2004.
BRAVO L’ARTISTE !
Interview de Daniel Sotiaux, ex délégué du Centre Wallonie Bruxelles, à l’occasion des cérémonies d’hommages à son ami BADIBANGA
BADIBANGA était un ami très cher. Nous nous sommes rencontré en 1990, lorsque je venais à peine d’arriver à Kinshasa pour occuper mes fonctions de délégué général du Centre Wallonie Bruxelles, je n’étais pas encore vraiment installé que j’ai eu la chance de le rencontrer dans la diplomatie. Et pendant tout mon séjour nous étions extrêmement proches. Nous nous voyions sur plein de registres. Un registre affectif d’amitié, et aussi de travail parce que Célestin était un homme d’une intelligence rare. Il réfléchissait sur l’évolution de l’art, c’est ce qui l’intéressait particulièrement.
Il m’avait donné à l’époque, des textes qu’il avait écrits, des manuscrits et des pages dactylographiés non publiés. Et il m’expliquait dans ces pages comment évoluait entre la tradition artistique traditionnelle africaine et la période contemporaine, et il cherchait des liaisons. Il m’a ouvert très grand les yeux en plus sur le monde artistique. Plus d’une fois il m’a emmené dans les ateliers d’artistes pour rencontrer des artistes, discuter avec eux. Il jouait l’intermédiaire parce que je ne parvenais pas vraiment à m’exprimer clairement avec les artistes. Nous partageons sur des réflexions spirituelle, esthétique, artistique et intellectuelle. J’ai essayé de l’accompagner dans certains de ces projets et j’ai aussi après parce que ça ne s’est pas arrêter à mon départ, je l’avait fait inviter lors d’une rencontre panafricaine à Dakar a la biennale des arts ou j’avais fait passer des messages aux organisateurs dont j’étais très proche ; et il était venu, avait donné des conférences incroyables…
Voilà toute mon histoire avec une personne qui reste totalement présente. Et presque étonnamment alors que j’allais prendre l’avion à Bruxelles il l’y a quelques jours, une amie qui était aussi à Dakar me dit : « j’apprends que tu pars à Kinshasa, je suppose que tu verras ton ami BADIBANGA ? » et je lui dis non, il était décédé. Mais je penserais beaucoup à lui, elle me dit ah c’est dommage ! Parce que j’aimerais remettre mes amitiés. Elle l’avait rencontré à Dakar et il lui avait beaucoup impressionné, cette galeriste belge…
A l’Espace Akhenaton j’ai surtout participé à des débats, parce qu’il appréciait les questions que je posais. J’ai quelques fois aussi animé certains ateliers.
Ce que j’ai envie de dire, c’est que BADIBANGA a été très injustement mal compris. C’est quelqu’un qui était beaucoup plus important pour l’histoire sur l’art au Congo et sur son évolution. Les occidentaux, des belges notamment ce sont accaparés de ses travaux et l’on éventuellement recyclés un peu et parfois pas et donc finalement son nom n’apparaissait pas partout où il aurait dû apparaitre au vu de ce qu’il avait fait, et je trouve qu’il l’y a une grande injustice par rapport à ça. J’ai toujours, faudrait que je le retrouve parce que je ne jette rien de mes amis, un texte assez long qu’il avait écrit, je dirais de mémoire une vingtaine de pages dactylographiés où il expliquait toute l’affaire, comment un travail qu’il avait fait est apparu sur d’autre signature et qui n’étaient pas siennes. Il voulait publier ce texte pour essayer de rétablir la vérité.
Et pour ces cérémonies d’hommages, j’aimerais que les gens comprennent son importance, ce qu’il a emmené, ce qu’il a construit et l’intelligence de ses œuvres qui parfois n’étaient pas à sa signature. C’était vraiment un ami congolais qu’on disait zaïrois à l’époque, qui me dît de participer à une petite rencontre parce que je venais d’arriver et qu’il devait me présenter à des gens. Célestin était là tout simplement et il ne savait pas que j’allais arriver comme délégué général de la Wallonie Bruxelles ici à Kinshasa. C’est bien après que les choses se sont structurées autour du centre, le centre existait déjà, c’est Geneviève qui a mis en place le centre, donc on s’était connu dans un autre cadre avant, il n’était pas venu sonner à la porte et disant coucou j’ai un projet ! C’est quelqu’un rencontré chez des amis partageant du poisson, du sucré ou la bière et on s’est dit tient on se revoit…
Daniel Sotiaux
Journée internationale des musées
Chaque année depuis 1977, l’ICOM organise la Journée internationale des musées (JIM), événement qui représente un moment unique pour la communauté muséale internationale.
La Journée internationale des musées a pour objectif de sensibiliser la société civile au fait que « les musées sont un moyen important d’échanges culturels, d’enrichissement des cultures, du développement de la compréhension mutuelle, de la coopération et de la paix entre les peuples. » Organisée le 18 mai ou autour de cette même date, les manifestations et activités prévues pour célébrer la Journée internationale des musées peuvent durer une journée, un week-end ou une semaine. La JIM a été célébrée pour la première fois il y a 40 ans. Son objectif est clair : diffuser le message que les musées sont un moyen important d’échanges culturels et d’enrichissement des cultures, et d’encourager la compréhension mutuelle, la coopération et la paix entre les peuples. La Journée internationale des musées fédère de plus en plus de musées à travers le monde. L’année dernière, plus de 37 000 musées ont participé à l’événement dans près de 156 pays.
Journée international des musées 2023 : « Musées, durabilité et bien-être »
Les musées contribuent de manière essentielle au bien-être et au développement durable de nos communautés. En tant qu’institutions de confiance et éléments importants de notre tissu social commun, ils sont particulièrement bien placés pour créer un effet en cascade et favoriser un changement positif. Les musées peuvent contribuer de multiples façons à la réalisation des objectifs de développement durable, qu’il s’agisse de soutenir l’action en faveur du climat, de favoriser l’intégration, de lutter contre l’isolement social ou d’améliorer la santé mentale.
LEMA KUSA : l’identité BADIBANGA se confond à la culture et art…
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Il est très important de prendre soin du patient.
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